Coupe du Monde 2023 : première finale pour Wayne Barnes

World Rugby l’a annoncé – sans surprise – l’Anglais Wayne Barnes arbitrera sa toute première finale de Coupe du monde, samedi au Stade de France, qui opposera la Nouvelle-Zélance à l’Afrique du Sud.

Le monde du rugby se prépare à assister à un événement majeur alors que Wayne Barnes, l’arbitre anglais chevronné, a été désigné pour officier la très attendue finale de la Coupe du monde de rugby 2023 entre la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud. Cette annonce a été faite officiellement par les organisateurs de la compétition, ce lundi.

Le choix de Barnes, âgé de 44 ans, repose sur ses remarquables performances et son expérience inégalée, totalisant pas moins de 110 matchs internationaux au cours de sa carrière. Cette nomination représente un moment significatif pour Barnes, car il établira un nouveau record en officiant son 27e match de Coupe du monde, ce qui en fait une figure emblématique dans le monde de l’arbitrage de rugby.

Aux côtés de Wayne Barnes, ses compatriotes Karl Dickson et Matthew Carley seront présents pour garantir un arbitrage de haut niveau pendant ce match décisif. Tom Foley sera également chargé des responsabilités de l’arbitre vidéo, assurant ainsi une surveillance et une prise de décision précises lors de cette finale cruciale.

Parallèlement, une autre décision a été rendue publique concernant la désignation de l’arbitre Nic Berry pour la petite finale opposant l’Argentine et l’Angleterre, qui se déroulera la veille de la finale. Nika Amashukeli (Géorgie) et Andrew Brace (Irlande) soutiendront Nic Berry dans cette tâche, tandis que Ben Whitehouse (Pays de Galles) assurera la fonction d’arbitre vidéo pour ce match.

Cependant, au milieu de cette annonce triomphante pour Barnes, une ombre plane du côté de l’arbitrage français. Malgré les performances louables de l’arbitre français Mathieu Raynal, celui-ci n’a pas été sélectionné pour les matchs de la phase finale de la Coupe du monde, suscitant ainsi des questions sur les opportunités accordées aux arbitres français dans les événements de haut niveau. Cette décision a été perçue comme une déception pour les supporters français et a soulevé des discussions au niveau de la FFR.

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